Le casse-phrase
PLA4
- In stock
Objectif : Apprendre à faire des phrases comprenant un sujet, un verbe et un complément
Les phrases ont perdu leurs morceaux! Reconstruis-les une à la fois en faisant les casse-têtes. Une fois ta phrase complétée, trouve l’image correspondante.
Le casse-phrase est conçu pour aider les enfants de 2½ ans à 4½ ans à faire des phrases complètes, qui comprennent un sujet, un verbe et un complément. La présentation sous forme de casse-têtes leur offre un support visuel et les aide à tenir compte de tous les «morceaux».
- 4 planches de jeu
- 8 morceaux «Sujet»
- 8 morceaux «Verbe»
- 12 morceaux «Complément»
- 1 guide d'accompagnement
- les règles du jeu
La période qui s’échelonne de 2½ ans à 4 ans est le moment où l’enfant apprend à faire des phrases qui ressemblent à celles des adultes, incluant tous les «petits mots». Le casse-phrase a été conçu expressément pour aider l’enfant à apprendre à faire des phrases complètes. Vers 4 ans, un enfant peut généralement utiliser tous les constituants de la phrase (le sujet, le verbe et le complément) depuis un certain temps, mais il peut encore prendre plaisir à inventer des phrases avec Le casse-phrase.
Le casse-phrase s’appuie sur un fait reconnu : l’enfant apprend les règles du langage s’il a des exemples variés. Ainsi, s’il entend fréquemment : «Le chat arrose une fleur», il apprendra la phrase par coeur. Par contre, s’il entend aussi : «Le chat arrose une pomme», «le chat mange une fleur», etc., il déduira, sans même en être conscient, que les phrases peuvent être composées d’un sujet, d’un verbe et d’un complément. Bref, il comprendra la façon de composer une phrase simple et pourra en produire d’autres en suivant le même modèle.
Par ailleurs, Le casse-phrase tient compte des habiletés cognitives qui émergent chez l’enfant. Ainsi, vers l’âge de 3 ans, parfois avant, l’enfant commence à pouvoir rire de situations loufoques, comme celles d’un chat qui arrose un biscuit ou d’un bébé qui lance un morceau de gâteau. Enfin, la forme du jeu, le casse-tête, aide l’enfant à développer d’autres habiletés cognitives et aussi sa motricité fine.